Le parfum de le destin
Dans les hauteurs de Grasse, nichée entre les paysages boisées et les champs de fleurs, une ancienne bâtisse dominait la vallée. Ses volets vivement clos, ses bureaux couverts de lierre, ne laissaient rien voir de l’activité étrange qui s’y déroulait. À l’intérieur, une femme travaillait en vacarme, penchée sur des fioles, des essences de grand prix, des copiage oubliées. Elle s’appelait Isadora, et ses créations n’étaient pas des parfums ordinaires. Isadora ne cherchait ni à bien enchanter, ni à bien fasciner aux marchés du luxe. Chaque fragrance qu’elle composait avait une fonction correctement nette : émouvoir une démarche de la destinee chez celui ou ceux qui l’inhalait. Cette possibilité ne relevait ni de la science juste ni de la magie fanatique. C’était une connaissance sensoriel, né d’années d’isolement, d’intuitions fines, et d’une illusion : capturer l’instant suivante dans un conscience indiscernable. Les premiers essais furent hasardeux. 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